Réuni à Lomé sous la présidence du ministre des Finances Georges Barcola, le Comité de concertation État–Secteur privé a dressé le bilan de son action au titre de l’année 2025. L’instance, qui rassemble l’exécutif et les acteurs économiques, confirme son rôle moteur dans la transformation de l’économie togolaise et la promotion de l’entreprise.
Au cours de l’année, plusieurs avancées structurantes ont été actées : suspension des droits de douane sur les logiciels, ajustement de la fiscalité applicable aux opérateurs télécoms, suppression de la TVA sur les intrants de la pêche, de l’aquaculture et de l’élevage, ou encore accélération des remboursements de crédits de TVA pour soutenir la trésorerie des entreprises. Les TPME bénéficient également désormais d’un étalement des droits d’enregistrement sur les marchés publics.
Ces progrès, fruits d’un dialogue fiscal constructif avec le secteur privé, doivent être consolidés selon les responsables gouvernementaux. Un avis partagé par l’AGET, qui insiste sur l’importance d’une action collective dans le contexte de la nouvelle République.
Pour 2026, le CCESP entend poursuivre sur cette dynamique afin de renforcer encore l’attractivité du pays et soutenir la croissance nationale.







