L’Association togolaise des consommateurs (ATC) tire la sonnette d’alarme après une analyse menée sur quatre variétés de Cerelac vendues au Togo, révélant une teneur très élevée en sucres ajoutés — jusqu’à 7,2 g par portion.
Ces niveaux dépassent largement les recommandations de l’OMS et pourraient favoriser chez les nourrissons une préférence précoce pour le sucre et des risques de maladies chroniques.
L’ATC interpelle Nestlé pour supprimer ces sucres, comme cela se fait en Suisse ou en Europe, et appelle les autorités togolaises à renforcer les contrôles.
L’association invite également les parents à lire attentivement les étiquettes et à privilégier des aliments pauvres en sucre afin de protéger la santé des tout-petits.






