Après les États-Unis et la Russie, l’Italie et l’Allemagne demandent à leurs ressortissants de quitter sans délai le Mali.
Le pays est paralysé par un blocus pétrolier imposé par le groupe djihadiste JNIM, affilié à Al-Qaïda.
Les attaques contre les convois de carburant se multiplient, causant morts et enlèvements malgré les escortes militaires.
La pénurie d’essence accentue les coupures d’électricité et plonge davantage l’économie malienne dans la crise.






