Selon Africa Intelligence, le gouvernement togolais a sollicité les autorités françaises pour l’extradition de plusieurs opposants installés en Europe, accusés de mener des actions de déstabilisation depuis l’étranger.
Un mandat d’arrêt international viserait notamment des membres du mouvement M66.
Cette demande soulève des enjeux sensibles liés à la liberté d’expression, au droit d’asile et aux relations diplomatiques entre Paris et Lomé.