À l’approche des municipales du 10 juillet, la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP), coalition d’opposition en perte de vitesse, réclame un report du scrutin, dénonçant un processus électoral « non crédible ».
Mais cette posture, jugée stérile par de nombreux observateurs, s’inscrit dans une stratégie répétitive de contestation sans proposition. Sans programme, ni ancrage électoral, ni réelle présence sur le terrain, la DMP semble de plus en plus marginalisée.
Tandis que d’autres partis d’opposition s’organisent pour participer, elle persiste dans une logique de dénonciation, minant ainsi sa légitimité. Ce nouvel appel au report apparaît davantage comme un aveu d’impuissance que comme une réelle alternative politique.
La rédaction