La CEDEAO a obligatoirement notifié la fin de contrat des 135 fonctionnaires originaires du Mali, du Niger et du Burkina Faso, conséquence directe du retrait de ces pays de l’organisation sous-régionale, effectif depuis le 29 janvier 2025.
Malgré l’absence de négociations, ces employés bénéficient d’indemnités correspondantes aux dispositions réglementaires en vigueur.
Leur départ, prévu pour le 30 septembre prochain, marque une nouvelle étape dans la rupture entre l’Alliance des États du Sahel (AES) et la CEDEAO.
La rédaction