Dans le cadre du lancement officiel des épreuves anticipées du baccalauréat première partie (BAC 1), édition mai 2025, 13 513 candidats — dont 7 687 jeunes filles — affrontent depuis le lundi 12 mai les premières épreuves techniques et de spécialité. Un moment décisif pour ces apprenants répartis dans 36 centres d’examen à travers le territoire national.
Ce mercredi 14 mai, le ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage, M. Isaac TCHIAKPE, a effectué une tournée de supervision dans trois centres de Lomé : le Lycée d’Enseignement Technique et Professionnel de Lomé, le Centre de Formation Madre Agatha Carelli et le Lycée Technique d’Attiégou. Objectif : s’assurer de la régularité des compositions et encourager les candidats.

Ces épreuves anticipées, qui s’étendent jusqu’au 23 mai, concernent principalement les séries professionnelles et industrielles. Sont notamment concernés :
- G1 : Secrétariat bureautique
- G2 / G3 : Comptabilité – Gestion / Techniques commerciales
- F1 : Fabrication mécanique
- F2 : Électronique
- F3 : Électrotechnique
- F4 : Génie civil
- E : Génie mécanique
- Ti : Chaudronnerie
S’adressant aux candidats, le ministre a tenu à apaiser les esprits : « L’examen n’est pas un concours. Il s’agit simplement de l’évaluation des connaissances acquises durant l’année scolaire. Il n’y a pas de piège. Restez concentrés. » Il en a également profité pour rappeler l’interdiction formelle du téléphone portable dans les salles d’examen et le strict respect des consignes de sécurité.
Au-delà du bon déroulement de l’examen, cette visite illustre l’importance que le gouvernement accorde à l’enseignement technique. M. TCHIAKPE a réitéré la volonté des autorités togolaises, sous la houlette du Chef de l’État, de faire de ce secteur un pilier stratégique pour l’insertion professionnelle des jeunes, conformément à la feuille de route gouvernementale 2020-2025.
La session des épreuves générales du BAC 1, quant à elle, est prévue du 26 au 30 mai 2025. Les regards sont tournés vers cette nouvelle génération d’apprenants, en qui le pays place de grands espoirs.