La ministre, secrétaire générale de la présidence, Ablamba Ahoéfavi Johnson, a clôturé le Forum régional des organisations de la société civile en Afrique de l’Ouest et du Centre en réaffirmant l’engagement du Togo en faveur de l’éducation des filles et de l’autonomisation économique des femmes.
Elle a salué les avancées du pays, qui s’illustre comme leader en matière de développement humain dans l’UEMOA et en égalité de genre en Afrique, selon les classements du PNUD et de la Banque mondiale. « Le Togo place l’humain au cœur de sa politique de développement », a-t-elle insisté, rappelant les succès du Fonds national de la finance inclusive (FNFI) qui a permis à des bénéficiaires de multiplier leur capital initial de manière spectaculaire.
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Mme Johnson a également souligné l’importance d’une éducation endogène adaptée aux réalités africaines face aux défis de la mondialisation et de l’intelligence artificielle. S’adressant aux organisations de la société civile, elle a insisté sur leur rôle essentiel comme moteur de développement et force de proposition pour bâtir une Afrique fondée sur l’excellence et la rigueur.
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La ministre a conclu en appelant à la concrétisation des recommandations du forum afin d’assurer un impact réel sur la condition des femmes et des jeunes filles en Afrique. « Le progrès d’un pays se mesure à la place qu’il accorde à ses filles et à ses femmes », a-t-elle rappelé, citant le président Faure Essozimna Gnassingbé.
Le défenseur