Dans une initiative marquée par une volonté d’apporter un allègement économique en cette période festive, le Président de la République, Son Excellence Faure Essozimna Gnassingbé, a annoncé l’octroi d’une prime spéciale de 60 000 francs CFA. . Cette mesure exceptionnelle bénéficie aux fonctionnaires, au personnel de l’enseignement confessionnel ainsi qu’aux pensionnés de la Caisse de retraites du Togo.
Représentant un effort budgétaire conséquent de 7,85 milliards de francs CFA, cette décision illustre l’engagement du gouvernement à renforcer le pouvoir d’achat des ménages et à promouvoir la solidarité nationale. Ce geste intervient dans un contexte où de nombreux citoyens font face aux défis économiques accumulés, et vise à offrir un répit aux foyers togolais en cette période de célébrations.
Une démarche de résilience et d’inclusion
Au-delà de l’impact financier immédiat, cette première s’inscrit dans une vision plus large de construction d’un Togo résilient et inclusif. Elle a traduit la volonté des autorités de répondre aux attentes des citoyens tout en consolidant les valeurs de partage et de cohésion sociale. En appelant chaque Togolais à faire de ces fêtes de fin d’année un moment de communion et d’entraide, le Président de la République rappelle l’importance de renforcer les liens sociaux dans une société en quête de progrès collectif.
Un regard tourné vers l’avenir
Dans son communiqué, le chef de l’État a également formulé ses vœux pour l’année 2025, souhaitant qu’elle soit placée sous le signe de l’espoir, de la détermination et de l’engagement. collective. Cette déclaration reflète une ambition de poursuivre les efforts pour un développement durable et inclusif, où chaque citoyen contribue activement à bâtir un avenir meilleur.
Cette première exceptionnelle, bien que ponctuelle, est perçue comme un signal fort de la part des autorités, témoignant de leur volonté de soutenir les populations face aux défis économiques tout en créant les conditions d’un climat social apaisé pour entrer dans la nouvelle année.
La rédaction