La Confédération des États du Sahel (AES) s’apprête à franchir une étape majeure dans la facilitation des déplacements au sein de la région. Après une attente prolongée, le passeport AES sera officiellement disponible à partir du 29 janvier 2025.
Cette initiative marque un tournant significatif pour les citoyens des États membres, qui aspirent à une plus grande liberté de circulation et à des opportunités économiques élargies.
Le passeport AES, conçu pour renforcer l’intégration régionale, permettra aux ressortissants des pays membres de voyager plus facilement à travers le Sahel. En attendant le lancement officiel, la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) continue de délivrer ses passeports, répondant ainsi aux besoins urgents des voyageurs.
Ces passeports CEDEAO, valables pour une durée de cinq ans, demeurent une solution temporaire pour ceux qui souhaitent voyager avant l’arrivée du nouveau document.
L’importance de cette nouvelle mesure ne peut être sous-estimée. En facilitant la mobilité, le passeport AES pourrait stimuler le commerce, le tourisme et les échanges culturels entre les pays de la région.
Les gouvernements des États membres de l’AES ont exprimé leur engagement à promouvoir une intégration plus profonde, et la mise en circulation de ce passeport est un pas dans cette direction.
Les autorités compétentes travaillent d’arrache-pied pour garantir que le processus de délivrance soit fluide et efficace. Les citoyens sont encouragés à se préparer en amont, en s’informant sur les modalités d’obtention du passeport AES et en s’assurant que leurs documents d’identité soient en règle.
En conclusion, le lancement du passeport AES représente une avancée significative pour la région du Sahel. Alors que la date fatidique du 29 janvier 2025 approche, les espoirs sont grands quant aux bénéfices que cette nouvelle mesure apportera aux citoyens des États membres. La mobilité, synonyme de progrès et d’opportunités, est enfin à portée de main.
Pour plus d’informations, restez connectés avec nos prochaines publications.
La rédaction