Le parti politique NID a officiellement annoncé sa sortie de la Dynamique des Mouvements Patriotiques (DMP), suscitant une onde de choc au sein de la coalition. Ce départ intervient dans un contexte tendu, marqué par des révélations sur les méthodes controversées de Madame Adjamagbo, figure influente de la DMP, accusée de manœuvres destinées à affaiblir et détruire les autres partis membres.
Depuis plusieurs mois, des voix se lèvent contre la stratégie agressive employée par Madame Adjamagbo, qui, selon des sources internes, userait de tactiques de division, d’intimidation et de déstabilisation systématique pour imposer sa vision et marginaliser toute opposition au sein de la coalition. Le NID, qui se dit profondément attaché aux principes de démocratie et de respect mutuel, ne pouvait tolérer cette politique de fracture.
« La DMP devait être un espace de collaboration et d’unité, mais les agissements de Madame Adjamagbo ont transformé cette plateforme en champ de bataille », a déclaré le président national du NID lors du communiqué officiel. Ces méthodes, qualifiées de « destructrices », ont créé un climat de méfiance et de conflit permanent, compromettant gravement la cohésion des partis alliés.
Ce départ marque un tournant majeur dans la vie politique de la DMP, mettant en lumière les risques d’un leadership autoritaire et les conséquences désastreuses que peuvent avoir des pratiques internes fondées sur la manipulation et la rivalité exacerbée. Le NID appelle désormais à une refondation des principes de collaboration politique basée sur la transparence, le dialogue et le respect des différences.
Face à ces accusations, Madame Adjamagbo reste pour l’instant silencieuse, tandis que la DMP se trouve à un carrefour décisif, entre crise interne et nécessité de réconciliation.
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