Le Togo poursuit sa politique ambitieuse d’amélioration des infrastructures pour favoriser le développement économique et social. Avec la construction et la réhabilitation de plusieurs ponts stratégiques, le pays améliore la fluidité du trafic, tout en facilitant l’accès aux services essentiels et la circulation des biens et des personnes.
Parmi les réalisations majeures, le pont de Koumongou, long de 160 mètres, et le pont d’Amakpapé sont des exemples de succès qui renforcent la connectivité entre les zones rurales et urbaines.
Dans un projet phare lancé en mars 2024, 21 nouveaux ponts modulaires seront construits pour désenclaver les zones rurales, améliorant ainsi les échanges dans cinq régions économiques du pays.
Ces ponts, financés en grande partie par la France et l’État togolais, se présentent sous la forme de structures mixtes acier-béton et sont destinés à traverser 2 271,6 mètres linéaires de terrain. Avec un taux d’avancement de 45 % à la fin de l’année 2024, ces travaux marquent un progrès significatif. En parallèle, le gouvernement a achevé 3 000 kilomètres de pistes rurales et prévoit de poursuivre l’extension de son réseau routier pour stimuler davantage l’accessibilité et la croissance locale.
Editorial staff