Au Togo, la commune d’Agoè-Nyivé 1, située au cœur de l’effervescence de la région, est aujourd’hui confrontée à un problème qui perturbe gravement le quotidien de ses habitants : l’état dégradé de la itinéraire CAP Assiyéyé – CCL, longue de 1,3 km. Ironie du sort, cette route mène directement à la mairie, pourtant censée être le reflet d’une gouvernance proactive et attentive aux besoins de la population.
En cette période d’harmattan, où les vents secs et poussiéreux sont à leur apogée, cette route non bitumée se transforme en un véritable cauchemar pour les riverains. Des nuages de poussière s’élèvent à chaque passage du véhicule, enveloppant les habitations et polluant l’air que les habitants respirent.
Cette situation constitue une véritable bombe sanitaire : les maladies respiratoires, les irritations oculaires et les allergies se multiplient, mettant à mal la santé des populations, notamment les enfants et les personnes âgées, plus vulnérables.
Les habitants lancent un appel désespéré aux autorités communales pour des solutions immédiates. Une action simple mais efficace consisterait à niveler cet itinéraire et à l’arroser régulièrement pour réduire la poussière en attendant les travaux de goudronnage. Ce geste, bien que temporaire, pourrait soulager considérablement les riverains en améliorant leur qualité de vie et leur santé.
Le silence ne peut plus durer
La mairie, directement concernée puisqu’elle est située sur cet axe, ne peut ignorer la détresse des citoyens. Ce tronçon devrait être une priorité dans les projets d’aménagement urbain. Il ne s’agit pas seulement d’un problème de confort, mais d’une question de santé publique et de dignité humaine.
Les autorités compétentes, notamment le maire et les services techniques de la commune, sont appelées à réagir sans délai. La population attend des actes concrets, à la hauteur des promesses et de la confiance accordée à leurs dirigeants.
Habitants d’Agoè-Nyivé 1, vous méritez mieux
Ce cri d’alerte ne doit pas tomber dans l’oubli. La route CAP Assiyéyé – CCL ne doit pas rester un symbole d’abandon, mais devenir une preuve tangible d’une gouvernance soucieuse du bien-être de tous.
La balle est désormais dans le camp des autorités. Le temps presse.
The defender
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