Le Togo confirme son engagement en faveur de la formation professionnelle comme levier stratégique de développement socio-économique.


Au cœur de cette dynamique, les Instituts de formation en alternance pour le développement (IFAD) s’imposent comme un outil clé pour préparer les jeunes aux exigences réelles du marché du travail.

De l’aquaculture à l’élevage, en passant par le bâtiment et les énergies renouvelables, ces établissements offrent des cursus qualifiants qui combinent enseignement théorique, pratique intensive et immersion en entreprise. Objectif affiché : former des diplômés immédiatement opérationnels, capables de créer leur propre activité ou d’intégrer des structures déjà existantes.
Les résultats parlent d’eux-mêmes : 100 % de réussite au baccalauréat professionnel pour les IFAD d’Élavagnon (aquaculture) et de Barkoissi (élevage), et un taux d’insertion professionnelle oscillant entre 85 et 90 % pour les lauréats du centre d’Adidogomé (bâtiment et énergies renouvelables).

Placés sous la tutelle de l’Agence éducation-développement (AED), les IFAD préparent activement la rentrée 2025–2026.
Avec plus de 570 apprenants formés en 2024, huit filières de formation proposées et 67 % des étudiants bénéficiant d’un financement, ces établissements redonnent espoir et perspectives à une jeunesse en quête d’autonomie.
Plus qu’un diplôme, les IFAD offrent un véritable passeport pour l’avenir, transformant les ambitions en carrières concrètes et durables.
Der Verteidiger